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Le jilbeb d’allaitement 2 pièces conçu pour les Oumy en Jazz pour une légèreté et un confort optimale
Le jilbeb Oumy mais en matière Jazz ! est pensé pour répondre aux besoins réels des femmes, alliant praticité, discrétion et couverture complète. Ce jilbeb 2 pièces est équipé d’un double zip d’allaitement, soigneusement dissimulé sous un clips couvrant la poitrine, pour allaiter en toute tranquillité sans compromettre la pudeur.
Ce jilbeb est également doté de clips discrets qui permettent de garder le haut bien en place, sans bouger, même en déplacement. Son tissu opaque, léger et agréable à porter offre une couvrance totale du corps, sans transparence ni inconfort.
Avec sa forme large, ce jilbeb garantit une liberté de mouvement optimale. Le double zip d’allaitement est un véritable atout pour les mamans, offrant un accès facile tout en restant bien couvert grâce au système de cache poitrine intégré.
Le jilbeb Oumy 2.0 est confectionné dans un tissu de qualité, résistant, respirant, et adapté à un usage quotidien. Il convient parfaitement aux femmes souhaitant un jilbeb fonctionnel et couvrant, sans détails inutiles.
Ce jilbeb existe en plusieurs tailles et coloris, pour s’adapter à toutes les morphologies. Chaque jilbeb est pensé pour rester simple, pratique et respectueux des règles de la pudeur.
| Couleur | Noir |
|---|---|
| Taille | Taille unique |
« Pour différencier entre les habits des hommes et celui des femmes, il faut se baser sur ce qui convient à chacun d’entre eux.
Soit, tout ce qui correspond et qui est imposé à chacun.
Il est imposé aux femmes de se couvrir et de se voiler sans dévoiler leurs parures ni s’exhiber.
C’est pourquoi il n’est pas légiféré pour la femme d’élever la voix ni pour l’adhân (l’appel à la prière ndt), ni pour la talbiya (invocation du pèlerin ndt).
Elle ne doit pas non plus monter sur les monticules de safâ et marwa, ni se dévêtir durant sa sacralisation contrairement à l’homme.
Celui-ci doit en effet se découvrir la tête et ne pas porter ses habits usuels dont la couture respecte les formes du corps.
Il ne doit pas mettre une chemise, un pantalon, un manteau ou des chaussons (…).
S’il est clair que la femme doit absolument se distinguer de l’homme au niveau de l’apparence, de sorte qu’elle doit se couvrir et se voiler pour ne pas ressembler aux hommes, nous pouvons découvrir sur quel principe ce chapitre est fondé.
Il devient évident que les vêtements utilisés en général par les hommes, deviennent interdits pour les femmes.
Si à la fois dans son apparence, la femme manque de pudeur et ressemble aux hommes, l’interdiction s’étend à ces deux domaines, mais certes Allah seul sait. »
